Chine, considéré comme le pays du thé,
depuis quelques temps commence à s’intéresser petit à petit au café. Il est
vrai que les chinois sont très exigeants par rapport aux goûts mais selon les
études, la plupart d’entre eux semblent séduit par le goût de cette boisson.
D’après les chiffres présentés par la CMDB ou Base de Données du Marché de
Chine, les gens qui disposent d’une haute capacité d'instruction paraissent les
plus vulnérables à la tentation qui émane de cette boisson presque inhabituelle
pour les chinois. En effet, si 8% soit le taux des consommateurs possédant un
niveau primaire, presque 40 % étant le taux occupé par ceux qui ont pu passer
des études à l’université.
Si auparavant le café, contrairement au thé, n’a pas éblouit les adeptes de boissons chaudes, actuellement il est devenu l’un des moyens qui font devenir nobles les chinois de classe moyenne. Malgré le fait que dans ce pays, peu de gens souhaitent changer leurs habitudes en favorisant cette boisson, le nombre de personnes qui s’adaptent au café ne cesse tout de même de s’accroître de jour en jour. Son essor est même devenu une nouvelle forme de concurrence pour ceux qui préfèrent de loin le thé. Dans ce pays, le café est pris comme un nouveau produit commercial pour les multinationales et les joint-ventures locales qui désirent le vendre avec détermination aussi bien aux soi-disant non intéressés qu’aux amateurs. De plus, ce produit, à part le pétrole, dépasse largement tous les autres en termes de valeur de rachat dans le cadre du marché international. Bien évidemment, les producteurs connaissent des hauts et des bas mais au final, ils arrivent en quelques sortes à s’imposer en Chine grâce aux véritables consommateurs de la Capitale. D’ailleurs, depuis des dizaines d’années, la commercialisation de café en Chine n’arrête de hausser les chiffres d’affaires qui, pour une année, peuvent atteindre jusqu’à près de 100 millions de dollars. De leur côté, les détaillants locaux s’efforcent également d’augment leur pourcentage de ventes pendant de cinquante à cent pour cent par an. Pourtant, cela reste insuffisant par rapport au fait que la plus grande partie des originaires de Chine tienne à cœur l’art du thé.
Si auparavant le café, contrairement au thé, n’a pas éblouit les adeptes de boissons chaudes, actuellement il est devenu l’un des moyens qui font devenir nobles les chinois de classe moyenne. Malgré le fait que dans ce pays, peu de gens souhaitent changer leurs habitudes en favorisant cette boisson, le nombre de personnes qui s’adaptent au café ne cesse tout de même de s’accroître de jour en jour. Son essor est même devenu une nouvelle forme de concurrence pour ceux qui préfèrent de loin le thé. Dans ce pays, le café est pris comme un nouveau produit commercial pour les multinationales et les joint-ventures locales qui désirent le vendre avec détermination aussi bien aux soi-disant non intéressés qu’aux amateurs. De plus, ce produit, à part le pétrole, dépasse largement tous les autres en termes de valeur de rachat dans le cadre du marché international. Bien évidemment, les producteurs connaissent des hauts et des bas mais au final, ils arrivent en quelques sortes à s’imposer en Chine grâce aux véritables consommateurs de la Capitale. D’ailleurs, depuis des dizaines d’années, la commercialisation de café en Chine n’arrête de hausser les chiffres d’affaires qui, pour une année, peuvent atteindre jusqu’à près de 100 millions de dollars. De leur côté, les détaillants locaux s’efforcent également d’augment leur pourcentage de ventes pendant de cinquante à cent pour cent par an. Pourtant, cela reste insuffisant par rapport au fait que la plus grande partie des originaires de Chine tienne à cœur l’art du thé.
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